Au secours, les revoilà !
Comme cela était prévisible, une fois les élections passées, ils reviennent et en force, sur tous les médias collaborationnistes audiovisuels et écrits. Vous l’aurez facilement deviné, je veux bien sur parler des ayatollahs médicaux des plateaux télé, préparant ainsi le terrain au retour des mesures liberticides que ne manquera pas de prendre la tyrannie sanitaire macroniste dans les prochains jours, trop heureuse de nous faire payer la claque que nous avons envoyé à son chef lors des dernières élections législatives.
Car depuis 48heures, comme par hasard les élections passées, les statistiques du soi-disant rhume repartent à la hausse. Quelle étonnante surprise ! Le pire est que cela fonctionne. Nous recommençons à croiser en voiture des gogos pétochards portant la muselière, même s’ils sont tout seul dans leur véhicule ou bien en vélo.
Alors, pour bien enfoncer le clou, les ayatollahs médicaux, nostalgiques des années sombres de notre pays, multiplient, dans leurs prêches incendiaires, le retour permanent du symbole de la soumission et de l’humiliation, je veux parler bien sur de l’inutile et inefficace muselière. Tout ceci au nom de ce qui n’est finalement qu’un simple petit rhume qui peut éventuellement vous fatiguer 48 heures avant de disparaitre aussi vite qu’il est venu. Pour rappel, lorsque la muselière était imposée partout et tout le temps, comme en décembre dernier, il n’y avait jamais eu autant de cas, n’en déplaise à certains.
Celui qui représente 28% des Français et qui a été réélu dernièrement avait déclaré en mars 2020 que nous étions en guerre. Pour une fois, je lui donne entièrement raison. OUI, nous sommes en guerre contre la tyrannie sanitaire qu’il souhaite nous imposer, OUI, nous sommes en guerre pour défendre nos libertés fondamentales qu’il souhaite nous supprimer. OUI, nous sommes en guerre contre ses ayatollahs médicaux qu’il envoie pour préparer le terrain et qui souhaitent diriger nos vies.
Qu’il sache que nous serons toujours toujours sur son chemin pour barrer la route à la mise en place de ses funestes projets. JAMAIS, je dis bien JAMAIS, son maudit masque ne reviendra sur mon visage !
Vive la liberté que des apprentis dictateurs n’arriveront jamais à nous voler.
Frédéric.