John Mayall "The sun is shinning down": un album rempli de promesses !

Suite à l'éditorial d'hier, il m'a semblé intéressant de porter à votre connaissance la traduction (pas toujours très réussie, j'en conviens) de cet article paru sur le site US "american blues scene, traitant avec un peu plus de détails de "The sun is shinning down", nouvel album de John Mayall disponible le 28 janvier prochain.

Sur son dernier album, The Sun Is Shining Down, sortant le 28 janvier sur Forty Below Records, le légendaire John Mayall s’associe avec un casting étoilé pour livrer un spectacle funky et émouvant ponctué de cuivres, de violons, d’harmonica et de ukulélé électrique.

« Je ne pourrais pas être plus heureux avec le nouvel album. J’ai hâte de le partager avec mes fans. Chacun de ces invités spéciaux apporte quelque chose d’unique à l’album, et notre équipe travaille si bien ensemble. Je pense que vous pouvez entendre cette alchimie dans la musique ».

L’album explore une gamme de styles et d’instruments éclectiques. Le violon de Scarlet Rivera complète magnifiquement deux originaux signés Mayall, le « Got to Find a Better Way » en temps opportun et un redémarrage fougueux du classique Mayall « Deep Blue Sea ». Mike Campbell sonne comme un Bluesbreaker né sur le funky, Bernard Allison couper « Chills and Thrills », et Marcus King grésille tout au long de l’émouvant « Can’t Take No More », un autre original de Mayall.

La guitare trémolo baryton de Buddy Miller ajoute une touche unique et mémorable à la composition de Bobby Rush « I’m as Good as Gone ». En même temps, le ukulélé électrique de Jake Shimabukuro n’est rien de moins qu’étonnant sur « One Special Lady ». Melvin Taylor prouve pourquoi il a impressionné le public du blues de Chicago sur « Hungry and Ready » et « Driving Wheel » pendant des décennies. Enfin, Carolyn Wonderland conclut brillamment le disque avec une performance émouvante et sensible sur le titre.

Aussi significatif que chacun de ces invités se tourne est, cependant, ils ne peuvent pas éclipser la propre voix fougueuse de Mayall, harmonica emblématique, et le travail de clavier lyrique sur « The sun is shinning down ». « John brille tout au long de cet album, dégageant une joie et une gratitude contagieuses. Nous voulons tous lui rendre cela », ajoute le producteur Eric Corne.

Vivement le 28 janvier 2022.

                                                                                                                                         Frédéric.

Comments

[GS Gilles]

Merci, Frédéric, pour la traduction et la primeur de l'information sur ce nouvel album à paraître en janvier. En tout cas, ce qui fait la force et la longévité musicale de John Mayall est bien sa capacité incroyable à se renouveler et à s'entourer de musiciens exceptionnels auxquels il fait appel pour faire vivre le blues. A son âge, quelle belle leçon de vie et d'optimisme !